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jeudi 21 juillet 2016

IV APERÇUS SUR LES FUÇÛS AL-HIKAM de Mohyî-al-Dîn Ibn al-‘Arabî par Fulan






















Aperçu synoptique des
Fuçûç al-hikam
de
Mohyd-al-dîn Ibn al-‘Arabî
Troisième quartier lunaire












Façç de la Demeure 15 – ‘Isâ



Lettre :




Nom : al-muçawwir, « Celui qui donne forme  ».
Sagesse  « Prophètique », nabawiyyah.
Sphère du troisième Ciel de Vénus, al-zuhrah, correspondant à Yûsuf.


Ecrire, c’est tracer des lettres sur du papier ou les « tracer » dans l’air par la parole ou dans la pensée avec l’imagination etc.
Al-muçawwir, « Celui qui donne forme » ; correspondant au jour du vendredi, al-jumu’ah, durant lequel Allâh – ta’âlâ – créa l’homme dans la meilleure des formes.
‘Isâ, créé par la manifestation (taçawwûr) de Jibrîl à Maryam, formait (çawwar) des oiseaux à partir de l’argile. La puissance du Nom al-musawwir s’est imposé aux chrétiens et ils ont peint des icônes qu’ils vénèrent dans les églises. Ce chapitre est celui de la « Forme universelle », al-shakal, et il est aussi celui qui comporte le plus de vers de poésie avec celui consacré à Ishâq ; 25 vers pour le façç de ‘Isâ (27 vers pour celui de Ishâq) ; 25 est aussi le nombre de fois où il est mentionné dans le Coran (15).


La Demeure se nomme « al-ghafr », (la couverture) ; elle va de 0°degré à 12° 51’ 26” de la Balance (al-mizân).





Façç de la Demeure 16 – Sulîmân

Lettre : tâ’



Nom : « Celui qui dénombre », al- murçî.
Sagesse « Miséricordieuse », rahmâniyyah.
Sphère du Ciel de Mercure, al-kâtib*, « Celui qui écrit ».

* Également appelé al-‘utârid.


Ce façç commence avec la lettre écrite de Sulîmân à Balqis ; « Il dénombre chaque chose » (Al-Jinn, 28). Les choses ne se distinguent que par la connaissance de leurs modalités et de leurs quantités (16).


La Demeure se nomme al-zubâna ; elle va de 12° 51’ 27” à 25° 42’ 24” de la Balance (al-mizân).





Façç de la Demeure 17 - Dâwûd

Lettre : dâl



Nom : « Le Clarificateur », al-mubîn, et « Celui qui est doué de fermeté », al-matîn.
Sagesse de l’« Être », wujudiyyah.
Sphère du Ciel de la Lune, al-qamar.


Sans le qabd (la saisie déterminante), il n’y aurait pas de discrimination à l’égard des choses de ce monde, car il établit des limites. C’est pourquoi il implique le Nom al-mubîn « L’Évident ».
La Sphère de cette Demeure correspond au Ciel de la Lune dont la lumière rend les choses claires et évidentes et l’esprit d’Adam y demeure car celles-ci furent clairement explicitées pour l’homme.
À l’égard de Dâwûd, le shaykh al-akbar adit : « Nous lui avons donné la sagesse et le pouvoir de discourir », et il mentionne, dans la Sagesse de ce façç, le sens du khalifah car la Lune est le khalifah du Soleil (17).


La Demeure se nomme al-ikhlîl ; elle va de 25° 42’ 25” de la Balance (al-mizân) à 8° 34’ 18” du Scorpion (al-‘aqrab).





Façç de la Demeure 18 – Yûnus

Lettre : tâ’



Nom : al-qabîd, « Celui qui saisit ».
Sagesse du « Souffle animé », nafsiyyah.
Sphère de l’élément Feu.


« Le Vivant » convient à celui qui a la vie essentielle. Quant aux créatures, leurs vies sont « suspendues » en raison de la création renouvelée à chaque instant, d’où le Nom al-qâbid, « Celui qui ramène à Lui ». Le Feu ramène à lui car tout ce qu’il contacte est rendu semblable à lui (18).
Dans le Coran, le qabd est assimilé au Feu et au Soleil :

« Puis nous la ramenons à Nous avec facilité ». (Al-Furqân, 25)


La Demeure se nomme qalb al-‘aqrab, (le cœur du Scorpion) ; elle va de 8° 34’ 19” à 21° 25’ 16 ” du Scorpion (al-‘aqrab).





Façç de la Demeure 19 – Ayyûb

Lettre : Zâ’



Nom : al-Hayy, « Le Vivant ».
Sagesse de « L’Invisible », ghaybiyyah.
Sphère de l’élément Air, al-hawâ’.


« Faire revivre » n’émane que de Celui qui a la vie essentielle, c'est-à-dire, dont la vie ne dépend pas d’autrui ; muhyî, « le Vivificateur », nécessite le Nom al-Hayy, « Le Vivant », premier Nom des sept attributs, source de perfection.
En raison de sa polarité et de sa force, l’élément (le plus universel) est l’Air qui est cause des créatures, étant l’élément constitutif du « Souffle du Miséricordieux » ; en se solidifiant, l’Air devient Eau. Dans ce chapitre, Ibn ‘Arabî commence avec le « secret de la vie » ; l’air circulant dans l’Eau (19).


La Demeure se nomme al-shawlah (le dard du Scorpion) ; elle va de 21° 25’ 17 ” du Scorpion (al-‘aqrab) à 4°17’ 10” du Sagittaire (al-qûs).





Façç de la Demeure 20 – Yahyâ

Lettre : sîn



Nom : al-muhyî, « Le Vivificateur ».
Sagesse : al-jalâliyyah, « La Majesté divine ».
Sphère de l’élément Eau.


Il n’y a pas de sens au Nom « Celui qui tue », al-muhît, sans le Nom complémentaire « Celui qui vivifie », al-muhyî (ou « qui fait revivre ») ; le Nom al-muhyî correspond à l’élément Eau ( 20) :
« Nous avons disposé à partir de l’eau toute chose vivante. »
(Al-Anbiyah, 30)


Cette Demeure se nomme al-na‘â’im ; elle va de 4° 17’ 11” à 17° 8’ 36”  du Sagittaire (al-qûs).





Façç de la Demeure 21 – Zakariyyâ’

Lettre : sâd



Nom : al-mumît, « Celui qui fait mourir ».
Sagesse « Royale », mâlakiyyah.
Sphère de l’élément Terre ;


« La Puissance », al-‘azîz, apparait avec la complémentarité de son opposé, al-qahr, « La Défaite » qui s’achève dans la mort, de même que la « Puissance suprême » qui est al-baqâ, implique que tout autre que Lui soit vaincu par le processus des transformations, c'est-à-dire, le passage (la mort) d’une forme à une autre :
« Nous vivifions par Lui la terre alors qu’elle était morte »
(Fatir, 9)

Le Nom « Celui qui tue », al-muhît, est en correspondance avec Zakariyyâ, desséché comme la Terre et qui revit par Yahyâ. Tous deux meurent tués. Dans ce chapitre, Ibn ‘Arabî parle de la transcendance et de l’omniprésence d’al-rahmah (21).


La Demeure se nomme al-baldah ; elle va de 17° 8’ 37” du Sagittaire (al-qûs) au 0° du Capricorne (al-jadî)*.

*La signature de l’élément Feu régissant le Sagittaire procure un caractère igné à la Demeure al-baldah dont l’élément Terre est propre à la nature de sa Sphère (la Terre est de qualité Froide et Sèche).





NOTES COMPLÉMENTAIRES
DES SEPT FUÇUÇ
Du troisième quartier lunaire.


15. La sourate du façç de ‘Isâ est Al-‘Açr (Le Soir ; C., 105) ; la çalah du soir, qui est al-çalah al-wustâ (la çalah médiane), est « la plus adéquate à l’Homme universel ». Ibn ‘Arabî considère la çalah al-‘açr comme médiane sous le rapport de la course solaire comprise entre le Zénith et l’Horizon qui correspond au coucher du Soleil, c’est-à-dire au temps de la çalah al-maghrib. (Meftah, p. 234)
« (…) la valeur numérique du mot ‘açr est 360, nombre qui indique l’intégralité des degrés du cycle mentionné dans le vers :
“La çalah [du soir] est incomparable
Car c’est elle qui réalise l’union avec le Bien-aimé,
Elle est juste au milieu dans un ordre cyclique ;
Elle se caractérise par une spécificité merveilleuse”.
360 est aussi la valeur numérique de l’expression “Sur ta vie” (la‘amruka) du verset 72 de la sourate Al-Hijr. » (Ibid.)


16. La sourate du façç de Sulîmân est Al-Humazah (Le Calomniateur ; C., 104) : dans ce façç, le shaykh fait des considérations « sur le compte des actes et la demande de compte (muhâsaba) qui sont en correspondance avec le Nom divin “Celui qui dénombre”, al-muhçî, et le verset 3 : “Il compte sur sa fortune qui le rendra immortel”. Tandis que la remarque à la fin du chapitre : “Tu verras une chose qui te remplirait de terreur si tu la connaissais…” renvoie au début et à la fin de la sourate : “Malheur…le feu ardent d’Allâh, qui par son regard [c'est-à-dire le feu] oppresse les cœurs. Il se referme sur eux en colonnes déployées”. » (Meftah, p. 237)


17. « Le façç s’ouvre par la mention du don gracieux (wahb) et de la rétribution (jazâ‘). Or, la rétribution est aussi, comme le compte ou la récompense (hisâb), un des sens du mot dîn (tradition, voie traditionnelle)*. C’est pourquoi le shaykh commence le chapitre 277 des Futûhât consacré à la Demeure de la sourate Al-Mâ‘ûn, « Les Œuvres utiles », en disant : “la science de la rétribution procède de la lumière de la conviction intuitive (imân) et non de la lumière de la raison (‘aql)… » (Meftah, p.237) ; la sourate Al-Mâ‘ûn (C., 107), « dont le thème principal est la description des caractères du négateur (mukhadhdhib), celui qui traite de mensonge la vérité traditionnelle ». (Ibid., p. 237)

* Dîn inclut également le sens de culte (ibid., note 1099, p. 237).


18. La sourate du façç de Yûnus est Al-Masad (La Corde tressée ; C., 111) « sous plusieurs aspects :
 – Le Feu, dans le verset de la sourate ; ‟ Il sera exposé à un feu pourvu de flammes (lahab)”, tandis que le shaykh parle du feu à la fin du façç. »
 – Le Nom “Celui qui saisit”, dans le dernier verset : “A son cou une corde faite de fibres tressées”, car la femme d’abû Lahab est soumise à son emprise.
 – La Sagesse du “Souffle animée”, nafsiyyah, dans la mesure où la femme, selon Ibn ‘Arabî, symbolise l’âme. C’est pourquoi il donne pour titre au chapitre 273 des Futûhât, qui est la Demeure de la sourate Al-Masad : “Demeure de la ruine de la passion et de l’âme relevant de la Station mûsâwiyyah”. Abû Lahab représente la passion et sa femme l’âme commandant le mal, tandis que le mot halâk (ruine, destruction) fait allusion au début de la sourate : “Tabbat (Que périsse) …” ». (Meftah, p. 238)


19. La sourate du façç de Ayyûb, Al-Sharh (La Dilatation ; C., 94), est « en parfaite correspondance avec son état spirituel, dont Allâh a dilaté la poitrine (premier verset) par le don de prophétie (nubuwwah) et décharger le fardeau de l’immense épreuve qui pesait sur son dos (v. 2 et 3). Il lui a indiqué le dhikr (v. 4) et lui a accordé la facilité après la difficulté (v. 5). Il l’a établi dans la patience (çabr), de sorte qu’il porta ardemment sa complainte pour le retrait de ses souffrances vers son seul Seigneur. Il réalisa ainsi ce qu’exprime le dernier verset ». (Meftah, p. 240)
Le Nom de ce façç, al-hayy, « régit la production de l’élément Air. C’est par l’air que se dilate la poitrine dans l’ordre sensible ». On trouve aussi, aux versets 5 et 2, « la cessation des souffrances et de la colère : ‟Certes, il y a avec la difficulté une facilité…”, et : ‟Et retiré ton fardeau”. » (Ibid.)


20 « Le shaykh mentionne à la fin de ce chapitre le mur et le tronc desséché qui font allusion à l’élément Terre (turâb), l’un des sens du mot hâ‘it : “mur”, étant aussi : “jardin”, bustân, et à la terre [en tant que lieu], ard, à laquelle correspond le façç de Zakariyyâ’, qualifié de “Royal”, mâlika, dans la mesure où la sphère de l’élément Terre est la dernière des Sphères du “Royaume”, al-mamalakah*, puisqu’il ne reste après celle-ci que les engendrés, al-muwalladât** et les habitants des Demeures (Anges, jinn, humains). » (Meftah, p.89)
La sourate du façç de Yahyâ est Al-Kawthar (C., 108) ; Le shaykh al-akbar a dédié le chapitre 276 des Futûhât à cette sourate : « La faculté imaginative est en rapport avec Yahyâ. Le shaykh dit que la forme parfaite de Maryam imprimée dans l’imagination de Zakariyyâ est la cause de la naissance de Yahyâ qui était chaste comme Maryam était vierge. Dans le façç de Zakariyyâ’ venant ensuite, il parle de la faculté conceptuelle (wahm), de l’influence qu’elle exerce et de la connaissance que possèdent à ce sujet ceux qui maitrisent cette faculté. » (Ibid., p. 24)

* « Ce “royaume” désigne la manifestation universelle, comprenant les 27 degrés de l’Etre, depuis l’Intellect premier jusqu’à l’être humain qui en est le calife. Il contient en effet 14 Sphères, réparties de part et d’autre du Ciel central du Soleil, depuis le “Trône divin”, al-arsh, qui enveloppe tout (al-muhît) jusqu’à l’élément terre. » (note 364, ibid., p. 89)
** C'est-à-dire les êtres du Règne animal, végétal et minéral.


21. « La parole suivante du shaykh dans ce façç : “Nous avons déjà mentionné dans les Futûhât que l’influence (athar) ne s’exerce que par le non-étant (ou le non-être, ma‘dûm*) et non par l’existant”… » ; « Au milieu du chap. 294 (Fut.), Ibn ‘Arabî dit : “Il n’y a pas de connaissance d’Allâh plus immense que celle du non-être absolue (al-‘adam al-mutlaq*), excepté celle d’Allâh Lui-même”**. » (Meftah, p.244)
En raison de l’activité de ce Nom divin « Celui qui fait mourir », le vingt et unième façç correspond à l’élément Terre (turâb) et à l’espace corporel (ou physique) de la Terre (ard) : « turab désigne la Terre en tant qu’élément naturel tandis que ard est l’étendue de l’espace terrestre ». (ibid., p. 84).
La sourate du façç de Zakariyyâ’ est Al-Balad (La Cité ; C., 90) : « Zakariyyâ’ était endurant dans la discipline spirituelle et subit de grandes épreuves. La sourate exprime un des aspects de la rigueur : “Ne va-t-il pas s’engager sur le chemin escarpé ? Qu’est-ce donc que le chemin escarpé ? (...) Sur eux un feu oppressant” (v. 11-12 et 20), et aussi : “(…) et se recommandant mutuellement la patience” (v. 17) ; le Nom divin “Celui qui fait mourir”, régissant la production de l’élément Terre, trouve un écho dans le verset 14 : “(…) un jour une famine”, l’état de famine étant proche de la mort ; de même la fin du verset 17, déjà cité : “(…) et se recommandant mutuellement la compassion (bi-l-marhamah)” ». (Ibid., p.243)
Meftah signale que « la mort est associée à l’étendue terrestre dans plusieurs versets coraniques et, fait remarquable, le mot baldah (pays) qui est le nom de cette Demeure se trouve mentionné en relation avec la mort dans le verset 11 de la sourate Al-Zukhruf (C., 43) : ‟Et nous ressuscitons par elle un pays (balda) mort”. » (Ibid. p. 84)

* Dans ce contexte, il est important de ne pas confondre ‘adam, avec le « néant » comme le font les universitaires. Nous rappelons que, du point de vue métaphysique, ce terme « néant » selon son acception courante, désigne une impossibilité (cf. Guénon).
** Le Nom Allâh est envisagé ici en tant que Principe suprême intégrant le « non-être » principe de l’être et « l’être », principe de l’existence (ou de la manifestation).






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Graphique de Muhyi-d-dîn Ibn ‘Arabî 
 




« Le carré inscrit dans un cercle porte la légende : “la hylé universelle, qui est la materia prima (al-habâ) ˮ ; ses quatre côtés sont désignés comme “chaleur, sécheresse, froid et humiditéˮ ; ce sont les expressions sensibles des quatre tendances fondamentales de la Nature ou de la materia prima. Le petit cercle au-dessus du cercle moyen est désigné comme “l’Âme universelle (an-nafs al-kulliyah), qui est la table gardée (al-lawh al-mahfûz) ˮ. Les deux cercles mineurs contenus dans ce cercle symbolisent la “faculté de connaissanceˮ et la “faculté d’actionˮ. La zone extérieure, marquée par une série de points, porte la légende : “les Anges éperdus d’amourˮ (al-malâïkat al-muhaymiyah). Le petit cercle contenu dans cette zone représente “l’Intellect premierˮ (al-‘aql al-awwal) – Remarquons que les “Anges éperdu d’amourˮ, au rang desquels figure l’intellect premier, se situent en dehors du domaine de la Nature universelle (at-tabi‘ah), c’est à dire en dehors de toute dualité*. »

*Burckhardt (p. 108).








La lettre de Sulîmân à Balqis (C. : Al-Naml, Les Fourmis ; 22-31.)

(Façç 16)





« [22/ La huppe ne tarda pas à venir et elle dit : “j'ai appris des choses que tu ne connais pas et je t'apporte de Saba une nouvelle certaine.]
23/ J'y ai trouvé une femme : elle règne sur eux, elle est comblée de tous les biens, et elle possède un trône magnifique. 24/ Je l'ai trouvée, elle et son peuple, se prosternant devant le soleil et non pas devant Allâh. Satan a embelli leurs actions à leurs propres yeux ; il les a écartés du bon chemin de sorte qu'ils ne sont pas dirigés. 25/ Comment ne se prosternent-ils pas devant Allâh qui produit au grand jour ce qui est celé dans les cieux et sur la terre, qui sait ce que vous cachez et ce que vous manifestez ! 26/ Allâh, Pas de divinité si ce n’est Lui, le Seigneur duTrône immenseˮ 27/ Sûlimân dit : “Nous allons voir si tu dis la vérité ou si tu mens : 28 / pars avec ma lettre que voici ; lance-la aux Sabéens, puis tiens-toi à l'écart et observe leur réaction”. 29/ [La huppe s’étant acquittée de sa mission, la reine] dit : “O notables ! Une noble lettre m'a été expédiée. 30/ Elle vient de Sûlimân et voici ce qu'elle dit : Bismi-Llâh al-Rahmân al-Rahîm, 31/ ne vous élevez pas contre Moi, mais venez à Moi, soumis (muslimîn)ˮ. »














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